Aider les enfants
Il est bien plus facile de travailler avec un enfant qu'avec un adulte : un enfant entre très naturellement et très rapidement en état d'hypnose,

Les enfants vivent dans un monde d'imagination, et l'imaginaire est un facteur préponderant dans la réactivité hypnotique, c'est un mode de fonctionnement (cerveau droit) intuitif, créatif, fantaisiste et sans limitation, particulierement propice à l'hypnose, opposé aux mode de fonctionnement (cerveau gauche) mental, cadré, relationnel.
La propreté
Enurésie

Voici un problème que l'on rencontre assez souvent en hypnothérapie :
Avant l'âge de 5 ans, il n'est pas forcément anormal qu'un enfant profondément endormi oublie de se lever pour aller aux toilettes.
Mais beaucoup de parents commencent néanmoins à s'inquiéter passés les deux ou trois ans de l'enfant, surtout si en plus il oublie aussi pendant la journée.

Il existe deux cas d'énurésie :
l'énurésie primaire : l'enfant n'a jamais été propre.
l'énurésie secondaire : l'enfant a acquis la propreté, mais il recommence à faire pipi au lit.

Par précaution, avant le travail d'hypnose, il faudra toujours vérifier avec un médecin qu'il ne s'agisse pas d'une cause organique ou d’un facteur stressant.


L'encoprésie :

L'encoprésie est le terme qui désigne l'impossibilité de retenir ses excréments, de « faire dans sa culotte » ou dans des endroits inappropriés, le plus souvent de manière totalement involontaire.
L'encoprésie peut venir de problèmes mécaniques (malformations, constipations, problèmes neuronaux), ou des problèmes psychologique.
Notons que l'accompagnement psychologique par l'hypnose pourra être utilisé dans les deux cas, car les problèmes mécaniques engendrent souvent des problèmes psychologiques, surtout quand l'émission de selles se fait dans les endroits publics (école par exemple).

Avant de démarrer une séance d'hypnose consultez un médecin pour votre enfant.
Les tics
Les tics sont des réactions physiques nerveuses répétitives et la majorité du temps incontrôlables, Certains tics passent inaperçus, et d'autres sont particulièrement visibles et dérangeants,

Tics moteurs : à partir de 3-4 ans. Stopper l’automatisme inconscient.


Tics verbaux : à partir de 8-9 ans. Reprendre le contrôle conscient


Tics moteurs & verbaux : à partir de 6-8ans
Les troubles du sommeil
Les cauchemars, bruits étranges

Il ne faut pas généralement s 'inquiéter lorsque les enfants font des cauchemars.
Ceux ci permettent à l'enfant de se renforcer par rapport au monde concret, extérieur.
Ils font parties de son évolution normale, comme une préparation pour l'avenir.
Les cauchemars peuvent inquiéter les parents, car leur enfant va très bien par ailleurs :
rien ne se passe de traumatisant dans la famille, les enfants ne regardent pas d'émissions violentes et sont même parfois surprotégés...
Et pourtant, certaines nuits, en se réveillant en sursaut, il raconte des histoires de monstres horribles à leur parents.

Les difficultés d'endormissement

Comme les adultes, les enfants peuvent avoir du mal à s'endormir ou alors se réveiller la nuit et ne pas arriver à se rendormir. Ces phénomènes peuvent être accompagnés ou dûs à des cauchemars. La plupart du temps, il s'agit de problèmes d'anxiété.
Pour découvrir l'origine de la difficulté à dormir, il faudra faire une anamnèse approfondie, avec les parents en dehors de la présence de l'enfant, puis avec l'enfant lui-même.

Les terreurs nocturnes

Les terreurs nocturnes sont des expériences particulièrement impressionnantes pour les parents : l'enfant semble se réveiller en hurlant, il a les yeux ouverts, mais il ne voit personne et rien ne peut le calmer. Durant ces paroxysmes émotionnels, l'enfant peut devenir violent bien involontairement (il ne se contrôle plus), et il ne se souviendra de rien à son réveil, car les terreurs nocturnes se produisent pendant le sommeil profond, contrairement au cauchemars « classiques » ou aux rêves traumatiques qui se produisent pendant le sommeil paradoxal.
Sucer le pouce, ronger les ongles
Ces comportements compulsifs sont souvent associées à un besoin non satisfait.
L'anxiété peut aussi engendrer ce type d'exutoire et de comportement rassurant et l'enfant peut être bien aussi imiter un parent ou un copain qui se ronge lui même les ongles ou qui suce encore son pouce. D'ailleurs cette imitation inconsciente peut être lointaine.



Anxiété
Ce très désagréable état émotionnel correspond à l'attente plus ou moins consciente d'un problème à venir ou d'un éventuel danger.
A la base, l'anxiété est un phénomène normal, présent chez tous le monde. Il sert à attirer l'attention sur des risques réels d'une situation, que ce soit physiquement ou moralement. L'inquiétude est une juste précaution qui permet d'éviter les ennuis.
Bien sûr tout comme trop peu d'anxiété pourrait mettre l'enfant en danger, à l'inverse trop d'anxiété va le stresser et l'épuiser... Voire même le faire basculer dans des obsessions.



Peurs & phobies
Nous allons parler des peurs « classiques » que nous retrouvons beaucoup chez l'enfant : la peur du noir (achluophobie), la peur des chiens (cynophobie), la peur des étrangers (xénophobie), de l'école ainsi que toutes les phobies : arachnophobies (araignées), agoraphobie (peurs des lieux publics), claustrophobie (peur d'être enfermé), peur des aiguilles (bélénophobie), peur du dentiste (dentophobie) ...
Les traumatismes
Les traumatismes sont des chocs émotionnels ou physiques qui ont toujours un impact sévère sur les enfants et qui marqueront, influenceront et parfois pourraient détruire sa vie entière.
C'est pour cela qu'il est toujours absolument nécessaire d'intervenir après un traumatisme, afin d'éviter un trouble post-traumatique et de réparer le mieux possible la profonde blessure subie par l'enfant.



Décès & séparations
Chez un enfant, la perte d'une personne proche cause beaucoup plus de dégâts que chez un adulte, car contrairement à ce dernier, les proches sont biologiquement indispensables à l'enfant. Son cerveau profond est programmé pour s'accrocher à ses parents qui lui assureront la survie.
En plus de la perte de l'être aimé s'ajoute donc la peur instinctive de sa propre mort, qui surviendrait forcément si le petit enfant se retrouvait seul au monde, sans protection et incapable de faire face à ses besoins.



Difficultés d’apprentissage
J'attire tout d'abord votre attention sur le fait que les enfants qui ont des mauvaises notes n'ont pas forcément de « difficultés d'apprentissage », au sens psychologique du terme.
Il ne faudrait pas faire passer des résultats scolaires moyens ou faible pour une maladie.
L'enfant apprend peut être d'une façon inefficace.
Pour les ados
Amélioration des notes à l'école, Concentration et mémorisation, Amélioration performances sportives, Gestion du stress pour les examens, Complexe physique, confiance en soi, estime de soi, Attitude positive, trac, S'ouvrir aux autres, Maître fin aux addictions : tabac, drogue, alcool, Couper le lien, Anorexie, boulimie, phobie et peur, Douleur physique.
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